À la Mairie de Saint-Vulbas, c’était le dernier jour des enquêtes publiques pour la prolongation des plus vieux réacteurs de France. L’Association « Sortir Du Nucléaire Bugey » a tenu à marquer le coup en manifestant devant …
À quoi peut donc servir une enquête publique quand tout est déjà décidé par avance ? La question n’est pas de savoir comment on va pouvoir « rafistoler » de vieux réacteurs qui ont atteint 40 …
Communiqué de presse de l’association Sortir Du Nucléaire Bugey pour dénoncer l’enquête publique en cours visant à prolonger la durée de vie des réacteurs de la centrale du Bugey. Présentation de cette action par …
L’association Cyberacteurs a mis en ligne le 23 janvier une pétition pour un référendum sur le nucléaire militaro-civil. Elle a diffusé l’information à ses abonnés le 26 janvier. À ce jour, mardi 8 Février, plus …
Bien optimiste effectivement la préfète : alors que quasiment la moitié du parc nucléaire est hors-service, difficile d’imaginer qu’en cas de rigueur hivernale s’abattant sur l’Europe, des imports d’électricité seront suffisants pour permettre de …
L’association SDN Bugey (Sortir Du Nucléaire Bugey) poursuit inlassablement sa sensibilisation du grand public pour refuser la construction de deux nouveaux EPR sur le site nucléaire du Bugey en occupant localement des ronds-points. Outre …
Forte participation… : peut-être… Mais ne met-on pas la charrue avant les bœufs ? En effet, même si Emmanuel Macron a décidé depuis plusieurs mois (années même) qu’il fallait déployer le nucléaire à tout crin, …
Du 20 Septembre au 22 Octobre 2022 s’est déroulée une enquête publique concernant le SCOT du BUCOPA. BUCOPA : Syndicat mixte Bugey – Côtière – Plaine de l’Ain SCOT : …
Invité en direct de la rédaction de BFM TV Lyon le lundi 16 Mai, Joël Guerry, ingénieur et membre de l’Association Sortir Du Nucléaire Bugey, fait état des problèmes qui affectent actuellement la moitié du parc nucléaire français, et en particulier ceux qui concernent les réacteurs de la centrale nucléaire du Bugey.
Pour écouter cet interview, dans sa totalité (nécessite de s’identifier avec une adresse mail et un mot de passe), il faut se rendre ICI (l’interview se situe du chrono 13:50 à 22:00)
Deux extraits de cet interview sont également disponibles (en accès complètement libre) :
Suite au Communiqué de presse émis par l’association Sortir Du Nucléaire Bugey le 29 Avril, les journalistes réagissent sur la situation critique qui affecte la centrale nucléaire du Bugey :
Lucas Lallemand, pour la Voix de l’Ain, le 29 Avril :
Julia Beaumet, le 30 Avril, pour le journal Le Progrès (Édition Oyonnax – Léman – Bas Bugey) et le 2 Mai, pour le journal Le Progrès (Édition Dombes – Côtière de l’Ain)
La centrale nucléaire du Bugey totalement à l’arrêt
Black-out à la centrale nucléaire du Bugey (Ain). Depuis vendredi 29 avril et jusqu’à ce lundi 2 mai au moins, les quatre réacteurs de 900 mégawatts (MW) du site sont à l’arrêt. « Du jamais vu. Le site ne produit donc plus d’électricité mais en consomme [la production de] 94 MW pour le refroidissement des réacteurs arrêtés », indique Joël Guerry, du collectif Sortir du nucléaire Bugey, dans un communiqué diffusé samedi 30 avril.
La centrale a été stoppée « en raison de travaux planifiés », a précisé EDF au quotidien régional Le Progrès. D’après le collectif antinucléaire, Bugey 2 est en maintenance jusqu’au 15 mai ; Bugey 3 et Bugey 4 ont été arrêtés pour contrôle des tuyauteries du circuit d’injection de sécurité, suite à la découverte de corrosions et de fissures sur une petite dizaine de réacteurs du parc ; et Bugey 5, qui aurait dû redémarrer le 26 février suite à sa quatrième visite décennale, n’avait toujours pas été reconnecté au réseau lundi après-midi. « EDF ne communique pas sur les problèmes qu’elle rencontre avec ce réacteur depuis le 26 février », s’inquiète Joël Guerry.
Le 14 avril, des rejets de gaz radioactifs avaient été détectés au niveau de la cheminée du bâtiment des auxiliaires nucléaires commune à Bugey 4 et 5, sans que leur concentration dépasse la limite réglementaire de rejets pour vingt-quatre heures selon l’Autorité de sûreté nucléaire. « EDF a acquis le droit de polluer notre environnement en y dispersant couramment des éléments radioactifs », avait réagi le collectif.
Retard accumulé dans la maintenance des réacteurs à cause de la pandémie de Covid-19, découverte de corrosion et de fissures sur plusieurs réacteurs du parc, qui ont forcé le groupe à procéder à des contrôles et donc des arrêts de tranche imprévus… Depuis la fin de l’année 2021, EDF accumule les déboires sur son parc. Le groupe a été contraint de réduire son objectif de production nucléaire annuel pour 2022 à son niveau le plus bas depuis trente ans, à 295-315 térawattheures (TWh). Lundi 2 mai à 15 h 30, 28 réacteurs nucléaires sur 56 étaient à l’arrêt.
Pas grave ??? En 8 minutes, juste 7 fois la dose annuelle admissible !!!
Dormez tranquilles, bonnes gens…
Cette nouvelle pollution pose encore une fois la crédibilité d’EDF à protéger les travailleurs du nucléaire et la population des alentours, et nous alerte sur le soi-disant « bon fonctionnement » de cette vieille centrale…
D’où le communiqué de presse rédigé par l’Association Sortir Du Nucléaire Bugey, au sujet de la pollution radioactive qui a eu lieu à Bugey le 14 avril dernier, suite à plusieurs erreurs.
Les suites d’un accident nucléaire à la centrale du Bugey seraient très lourdes de conséquences pour l’ensemble des populations habitant à 20, 50, 100 km et très vraisemblablement bien davantage encore.
L’accident nucléaire de Tchernobyl dont les conséquences sont malheureusement toujours d’actualité, devrait faire réfléchir le pouvoir sur les décisions prises pour promouvoir à tout-va l’énergie nucléaire !
En ce jour de commémoration de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl en 1986 qui avait vu l’un des réacteurs de la centrale nucléaire exploser, le journal Le Progrès, sous la plume de Julia Beaumet, relate les actions organisées par les militants de l’association Sortir Du Nucléaire Bugey sur les ronds-points et les entrées de ville de Meximieux.
Cliquer l’article pour le lire confortablement !
Lien Permanent pour cet article : https://www.stop-bugey.org/centrale-nucleaire-bugey/le-progres-relaie-loperation-tchernobyl-bugey/
Quand on sait l’âge des 4 réacteurs qui ont dépassé 40 ans… Quand on voit le nombre d’incidents qui affectent ces réacteurs vieillissants…
On peut vraiment craindre le pire !
Ce mardi 26 avril 2022, Sortir Du Nucléaire Bugey a investi les entrées de ville et les ronds-points de Meximieux (Ain) pour rappeler le risque d’accident nucléaire. C’était le triste anniversaire de la catastrophe de Tchernobyl en Ukraine (il y a 36 ans) et ça pourrait bientôt arriver au site nucléaire du Bugey.
Lien Permanent pour cet article : https://www.stop-bugey.org/actions/tchernobugey/
En Avril, ne te découvre pas d’un … réacteur… !!! ET POURTANT… MALGRÉ L’ARRÊT DE LA MOITIÉ DE SON PARC NUCLÉAIRE la France n’a pas sombré dans le chaos électrique !
Le nucléaire serait-il aussi indispensable que certains le disent ?
SDN Bugey, par la voix de JOËL GUERRY, fait état de la situation dans un communiqué de presse :
Et la presse régionale dans les colonnes du Progrès interroge ses lecteurs via un article signé Amandine EYMES :
Lien Permanent pour cet article : https://www.stop-bugey.org/communiques-de-presse/le-nucleaire-au-ralenti-communique-de-presse-et-reaction/
Suite à l’action Ronds-Points organisée par SDN Bugey le 26 Mars , la presse locale donne la parole aux militants :
Pourquoi les militants anti-nucléaires demandent l’arrêt de la centrale du Bugey
Les militants de l’association Sortir du nucléaire Bugey ont organisé, samedi 26 mars, une action au rond-point de l’Oiselet à Bourgoin-Jallieu pour protester contre les projets de prolongation de durée de vie et de construction de centrales nucléaires. À deux semaines du premier tour de l’élection présidentielle, ils souhaitaient interpeller les candidats à ce sujet. C’est ce que nous explique Philippe Lambersens coordinateur de l’association Sortir du nucléaire Isère.
Interview de Philippe Lambersens (Sortir Du Nucléaire 38)
Par Tim BUISSON (Montage Mégane GILLET) – 27 mars 2022 à 07:15
Interview radiophonique par un journaliste de Radio Scoop, à propos des 50 ans de la centrale (plus exactement, de Bugey 1) : l’occasion de redire certaines choses évidentes concernant la lutte antinucléaire… :
Interview de Jean-Pierre Collet (SDN Bugey)
Ci-dessous, l’interview radiophonique tel qu’il a été repris sur le site de Radio Scoop :
LA CENTRALE NUCLÉAIRE DU BUGEY A 50 ANS : EST-ELLE TROP VIEILLE ?
La centrale nucléaire du Bugey à Saint-Vulbas, dans l’Ain, près de Lyon, fête son cinquantième anniversaire. Elle a été mise en service le 15 avril 1972.
Ce 15 avril, à la la centrale du Bugey, c’est précisément l’anniversaire du réacteur numéro 1, qui n’est plus en service depuis une vingtaine d’années.
Actuellement, trois des quatre réacteurs actifs, qui fêteront, eux aussi, leurs 50 ans prochainement, puisqu’ils datent de la fin des années 1970, sont à l’arrêt, pour des problèmes de corrosion, ou pour les visites décennales.
Quel niveau de sécurité à 50 ans ?
Il s’agit de grandes révisions obligatoires, effectuées, donc, tous les dix ans, qui impliquent 40.000 activités, plusieurs dizaines de milliers d’heures de contrôle, 4.000 personnes par jour et 250 millions d’investissements sur chaque réacteur.
Ces visites garantissent un haut niveau de sécurité, selon Pierre Boyer, le directeur de la centrale nucléaire du Bugey : « on investit beaucoup sur nos réacteurs pour améliorer la sûreté. Et encore une fois, l’année dernière, on a produit 10% d’électricité de plus que nos prévisions. On voit bien, avec les prix du gaz très élevés, l’importance d’avoir cet outil qui permet de garantir la souveraineté et l’indépendance énergétique de la France ».
Jean-Pierre Collet de l’association Sortir du Nucléaire Bugey ne partage pas cet avis : « Dans une centrale, on peut changer beaucoup de choses, c’est vrai. On peut changer des kilomètres de tuyauterie, on peut changer des vannes, mais on ne peut pas tout changer ! Il y a des organes essentiels, comme la cuve du réacteur, qui ne se change pas. C’est toujours la même cuve qui n’a pas été conçue pour durer 50 ou 60 ans ».
La cuve n’est pas le seul exemple : « il y a aussi l’enceinte de confinement elle-même, qui ne peut pas se changer », poursuit Jean-Pierre Collet. « On est très inquiet. On alerte sur le fait qu’on ne peut pas faire durer comme ça une installation industrielle indéfiniment, surtout quand elle est nucléaire ».
Le nucléaire est-il « propre » et « indépendant » ?
Pour Pierre Boyer, « on est une énergie bas-carbone, et c’est important avec les enjeux sur le climat. On redécouvre également tout l’intérêt d’avoir un parc nucléaire qui produit une électricité pas chère, et surtout, qui n’est pas liée aux prix du gaz ».
Pour lui, cela ne fait aucun doute, « les centrales nucléaires sont un formidable outil pour lutter contre le réchauffement climatique et pour assurer l’indépendance énergétique de la France ».
Des arguments contestés par les anti-nucléaires. Jean-Pierre Collet estime que « l’argument de l’indépendance énergétique ne tient pas du tout ! Le nucléaire, cela fonctionne avec de l’uranium qu’on importe en totalité du Kazakhstan, de l’Australie, du Niger. Si on importe l’uranium, c’est que l’on n’est pas indépendant. De plus, il est exploité dans des conditions déplorables en termes de respect de l’environnement et des populations ! Il y a des problèmes de pollution terribles, avec des contaminations ».
Et maintenant ?
Emmanuel Macron a annoncé la construction de six réacteurs EPR2, avec une option pour huit supplémentaires, soit quatorze au total.
Marine Le Pen veut construire vingt nouvelles centrales : cinq paires d’EPR dès cette année pour une mise en service en 2031, puis cinq paires d’EPR-2 pour 2036.
De leur côté, les experts-climat du GIEC affirment que le nucléaire n’est que le quatrième contributeur pour lutter contre le réchauffement climatique, loin derrière le solaire et l’éolien.
SDN Bugey en direct sur les ondes de France Inter le 24 Mars et sur BFM TV Lyon le 22 Février
Suite aux déclarations d’Emmanuel Macron décrétant un développement forcené du nucléaire pour les années à venir, auquel la plupart des candidats aux élections présidentielles souscrivent à qui mieux-mieux, le sujet finit par retenir l’attention de quelques medias.
Jeudi 24 Mars, Joël Guerry de l’association SDN Bugey (SortirDu Nucléaire Bugey) était invité en direct sur le plateau de l’émission méridienne du 13-14 de France Inter, en direct de la centrale nucléaire du Bugey. Sous la houlette du journaliste Bruno Duvic, cette émission se déroulait en présence de Pierre Boyer, directeur de la centrale nucléaire du Bugey et d’Olivier Dubois, adjoint du directeur de l’expertise de sûreté à l’IRSN.
Joël Guerry (à gauche sur la photo) sur le plateau de France Inter en direct à Bugey
De même, Jean-Pierre Collet également de l’association SDN Bugey, avait été l’invité de BFM TV Lyon le 22 Février pour une interview dont voici les deux extraits retenus sur le site de BFM TV :
À l’occasion des présidentielles, le Progrès ouvre largement ses colonnes au débat sur le nucléaire : 4 pages sont consacrées au sujet. Nous vous les proposons à la lecture…
La parole est donnée à différents intervenants, dont les militants antinucléaires de l’Association Sortir Du Nucléaire Bugey.
France Culture Journal du 4/08/2022 : Plus de la moitié des réacteurs arrêtés !
Finalement, contrairement à ce qu'on a toujours voulu nous faire croire, LE NUCLÉAIRE EST UNE ÉNERGIE PARTICULIÈREMENT INTERMITTENTE !!!
Abonnez-vous à la revue S!lence !
La revue S!lence porte un projet de transformation de la société dans le sens de la décroissance et de l’écologie sociale. La revue explore les alternatives concrètes et cherche à aborder tout sujet non seulement sous l’angle écologique et décroissant, mais aussi au regard du féminisme et de la non-violence. Depuis l'origine, la revue S!lence s'inscrit également dans la lutte antinucléaire !
Dans le contexte actuel de guerre en Ukraine, l’Europe se retrouve-t-elle à nouveau sur le sentier de la guerre ? Comment analyser le rôle de la France, de l’Europe, de l’arme nucléaire ? Quel lien entre non-violence et démocratie ? Comment agir pour la démilitarisation en France ? Ce dossier apporte quelques éléments de réponses.
Manifestation AntiNucléaire du 3 Octobre 2021 – St-Vulbas (01)
*** Video Manif’ *** 3 Octobre 2021
*** Photos Manif’ *** 3 Octobre 2021
Autres photos Manif’ 3 Octobre 2021
BD sur la catastrophe annoncée du barrage de Vouglans
Si le barrage cédait et qu’une vague déferlait sur la centrale nucléaire du Bugey…
Le barrage de Vouglans menace la centrale nucléaire du Bugey
JEUDI 13 septembre 2018 sur A2
Barrage de Vouglans : scénario catastrophe
Le 14 août 2018, une partie du pont de Gênes s’effondre. 43 morts ensevelis sous les gravats. D’autres gigantesques ouvrages de béton vieux de cinquante ans sont-ils menacés ?
Une telle catastrophe peut-elle survenir en France, en particulier sur le barrage de Vouglans situé en amont de la centrale du Bugey.
Le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), exploitant de l’INB n° 165 à Fontenay-aux-Roses, dénommée « PROCÉDÉ », a déclaré le 3 mars 2023 à l’ASN un événement significatif pour la sûreté, relatif à l’indisponibilité de la détection incendie des laboratoires du bâtiment 18 de l’INB n° 165.
Le 23 février 2023, EDF a déclaré à l’Autorité de sureté nucléaire (ASN) un événement significatif relatif à des défauts de sectorisation incendie constatés sur les quatre réacteurs de la centrale nucléaire de Paluel.
Le 1er mars 2023, l’exploitant de la centrale nucléaire de Dampierre-en-Burly a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) un évènement significatif pour la sûreté relatif à la démonstration de la tenue au séisme de matériels importants pour la sûreté du réacteur 2.
La société Orano Chimie Enrichissement a déclaré le 8 mars 2023 à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) un événement significatif relatif au non-respect d’une règle relative à la maîtrise du risque de criticité[1] dans son usine de diffusion gazeuse « Georges Besse I » qui est en cours de démantèlement.
Le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), exploitant de l’INB (installation nucléaire de base) n° 165 à Fontenay-aux-Roses, dénommée « PROCÉDÉ », a déclaré le 16 janvier 2023 à l’ASN un événement significatif pour la sûreté, relatif à l’absence de réalisation du contrôle périodique des sondes de température de la chaine blindée PROLIXE de l’INB n° 165.
Le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Civaux a été arrêté pour visite décennale le 21 août 2021. Il a redémarré et atteint à nouveau sa puissance nominale le 1er février 2023. Cette visite décennale est l’une des étapes de son deuxième réexamen périodique, qui conduira l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) à se prononcer sur les conditions de sa poursuite de fonctionnement.
Le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Cattenom a été arrêté pour maintenance et rechargement en combustible le 11 juin 2022. Il a redémarré et atteint à nouveau sa puissance nominale le 5 février 2023.
Le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Saint-Alban a été arrêté pour maintenance et rechargement en combustible le 8 juillet 2022 pour atteindre à nouveau sa puissance nominale le 5 janvier 2023.
Le réacteur 3 de la centrale nucléaire de Gravelines a été arrêté pour effectuer sa quatrième visite décennale le 19 mars 2022. Il a redémarré et atteint à nouveau sa puissance nominale le 4 janvier 2023. Cette visite décennale est l’une des étapes de son quatrième réexamen périodique, qui conduira l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) à se prononcer sur les conditions de sa poursuite de fonctionnement.
Le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Dampierre-en-Burly a été arrêté pour effectuer sa quatrième visite décennale le 27 avril 2022. Il a redémarré et atteint à nouveau sa puissance nominale le 9 janvier 2023. Cette visite décennale est l’une des étapes de son quatrième réexamen périodique, qui conduira l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) à se prononcer sur les conditions de sa poursuite de fonctionnement.
Le réacteur 3 de la centrale nucléaire de Dampierre-en-Burly a été arrêté pour maintenance et rechargement en combustible le 26 octobre 2022 pour atteindre à nouveau sa puissance nominale le 16 décembre 2022.
Le réacteur 1 de la centrale nucléaire du Tricastin a été arrêté pour maintenance et rechargement en combustible le 5 novembre 2022 pour atteindre à nouveau sa puissance nominale le 18 décembre 2022.
Nous utilisons des cookies sur notre site, mais uniquement pour en assurer le bon fonctionnement. Nous n'utilisons absolument aucune de vos données personnelles : notre seul but est de vous informer. En cliquant "ACCEPTER", vous consentez à l'utilisation de ces cookies.
This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. These cookies ensure basic functionalities and security features of the website, anonymously.
Cookie
Durée
Description
cookielawinfo-checbox-analytics
11 months
This cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Analytics".
cookielawinfo-checbox-functional
11 months
The cookie is set by GDPR cookie consent to record the user consent for the cookies in the category "Functional".
cookielawinfo-checbox-others
11 months
This cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Other.
cookielawinfo-checkbox-advertisement
1 year
The cookie is set by GDPR cookie consent to record the user consent for the cookies in the category "Advertisement".
cookielawinfo-checkbox-necessary
11 months
This cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookies is used to store the user consent for the cookies in the category "Necessary".
cookielawinfo-checkbox-performance
11 months
This cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Performance".
viewed_cookie_policy
11 months
The cookie is set by the GDPR Cookie Consent plugin and is used to store whether or not user has consented to the use of cookies. It does not store any personal data.
Functional cookies help to perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collect feedbacks, and other third-party features.
Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.
Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.
Advertisement cookies are used to provide visitors with relevant ads and marketing campaigns. These cookies track visitors across websites and collect information to provide customized ads.