Catégorie : Revue de presse

ICEDA provoque de l’inquiétude

La Voix de l’Ain se fait l’écho du communiqué de presse du collectif Stop-Bugey sur la mise en service d’ICEDA.

 

C’est bien beau de miser sur l’emploi… !!

Mais prolonger d’au moins 10 ans (avec des coûts faramineux engagés sur le dos de chaque citoyen) le fonctionnement des quatre réacteurs nucléaires au-delà des 40 ans initialement prévus, alors que les incidents ne cessent de se multiplier (en partie à cause de leur vétusté), c’est soumettre la population de toute une région (et beaucoup plus largement encore) à des risques majeurs d’accident nucléaire !

Et ajouter au site nucléaire de Bugey la mise en route d’ICEDA (Installation de Conditionnement et d’Entreposage de Déchets Activés), un centre de traitement de déchets nucléaires venant de toute la France, c’est exposer encore davantage toute la région à des risques supplémentaires pendant des décennies : émissions d’effluents radioactifs liquides et gazeux, accidents de convoyage des déchets par route et par voie ferrée tout au long de l’année !

Clic sur l’article pour le consulter

 

De quoi susciter la réaction de citoyens très inquiets qui ne cessent de voir la région soumise à des risques de plus en plus nombreux et menaçants, et qui souhaitent interpeller la population des nouveaux dangers de contamination radioactive encourus à leur insu

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Un « Cocktail explosif » près de la centrale du Bugey

Clic sur l’article du Progrès pour le lire

 

 

 

Le journal Le Progrès reprend les interrogations, craintes et indignations émises par la Coordination Stop-Bugey dans son communiqué de presse.

 

La concentration d’industries, dont certaines ont des activités avec de hauts risques chimiques ou d’explosion, en particulier celles classées « Seveso haut » (tout comme ce fut le cas avec AZF et Lubrizol) font craindre le pire avec la proximité des 4 réacteurs nucléaires en activité à seulement 5 km de là…

Comment peut-on admettre une telle culture du risque de la part des élus et des instances décisionnaires ?

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Genève refuse la mise en route d’ICEDA et dépose un nouveau recours devant le Conseil d’État

CLIC pour agrandir et lire cet article…

 

La Suisse s’oppose à la mise en service d’ICEDA sur le site nucléaire de Bugey et dénonce les transports de matières radioactives très dangereuses qui vont sillonner les routes de France en direction de cet équipement situé à environ 70 km de Genève.

En effet, le 28 juillet 2020, l’ASN a donné l’autorisation de mise en service d’ICEDA (Installation de Conditionnement et d’Entreposage de Déchets Activés).

 

Le Collectif Stop Bugey avait déjà manifesté en juillet dernier son opposition à cette autorisation accordée à EDF par l’ASN, et ce qui plus est, dans des conditions illégales (Voir le communiqué de presse consultable ICI).

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SDN Bugey interpelle les élus du département sur le devenir de Bugey : EPR, arrêt des 4 vieux réacteurs…

SDN Bugey a mené une action lundi 19 Octobre dès 8 h devant le Technopôle Alimentec, à l’attention des élus du département de l’Ain, pour leur signifier que :

« Non, décidément, faire le vœu d’avoir deux nouveaux réacteurs EPR au Bugey n’est pas du tout une bonne idée » !

Les banderoles résument en quelques slogans la motivation de cette action

Le but de l’opération consistait à croiser le maximum d’élus, lors de leur venue à une réunion de travail, et éventuellement de « discuter » avec eux.

Concrètement, concernant leur vœu d’accueillir 2 nouveaux réacteurs EPR sur le site du Bugey :

  • Beaucoup d’élus n’ont pas souhaité s’exprimer sur leur choix de décembre dernier
  • D’autres nous ont même un peu (beaucoup !?..) snobés,
  • Mais quelques-uns ont joué le jeu de l’échange, notamment devant le journaliste présent (voir son article en fin d’article).
  • On n’a pas non plus échappé au sempiternel « vous voulez revenir au charbon comme les allemands » (une élue du pays de Gex).

 

 

L’autre idée était d’avoir un relai médiatique et …   quand même, de bien mettre les élus du Conseil Départemental en face de leurs responsabilités !

Un point positif : Un élu a assuré ne pas avoir pris part au vote (il était intervenu de manière très remarquée contre ce vœu, ce qui avait valu un bel échange avec quelques partisans du nucléaire).

 

Nous avons eu également -et surtout- connaissance, via la vice-présidente du conseil départemental elle-même, de différents éléments dont celui d’une injonction de l’État qui visiblement « aurait demandé aux élus locaux » de se positionner au plus vite. Ce qui d’après, la vice-présidente, pourrait expliquer leur « empressement certain » à formuler ce vœu, avec si peu de concertation » (sic)…

(Si les conditions ne leur avaient pas convenu, ils auraient tout aussi bien pu ne pas prendre part au vote dans de telles conditions… ! )

 

 

À la suite de cette intervention, vu qu’il nous restait un peu de temps et d’énergie, la matinée s’est terminée sur le Rond-point juste à côté, avec des banderoles toutes neuves ! histoire d’être vus par quelques centaines d’automobilistes, sur ce carrefour fréquenté.

Pour lire l’article du Progrès, c’est ICI

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Le Journal du Bugey relate l’Action « Ronds-Points » de la Coordination Stop-Bugey

Action sur le Rond-point de Lagnieu (clic pour agrandir)

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Camp RadiAction et Rond-Point pour arrêter Bugey

Le Dauphiné Libéré du dimanche 30 août a publié un article à propos du «Décamp’finement» (camp de jeunes RadiAction) et de l’action « Ronds-Points » de la coordination Stop Bugey.

(Pour lire l’article, cliquer sur l’image)

SDN Bugey et la coordination Stop Bugey ont aidé à l’organisation de ce camp qui a regroupé beaucoup de jeunes militants, marquant un renouveau de la lutte antinucléaire en France.

Certains de ces jeunes sont venus sur le rond-point de la Grive à Bourgoin-Jallieu pour soutenir l’action de la coordination Stop-Bugey.

 

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La presse était présente pour l’action Ronds-Points du 29 Août

La presse était présente pour couvrir l’action Ronds-Points du samedi 29 Août, lancée par le Collectif Stop-Bugey.

Le Progrès dès samedi matin annonçait notre action : article vu plus de 2000 fois !! :  à lire ICI

France 3 dans son édition du JT du 12/13 : intervention de Jean-Pierre Collet au tout début (un peu coupée, comme d’habitude) :  à voir ICI (sélectionner la diffusion du 29/08)

France 3 dans son édition du JT du 19/20 avec le témoignage d’Anne-Cécile de Contratom sur le Rond-point d’Ambérieu, puis celui de Jean-Pierre Collet (très rapide) devant la centrale, qui nous a d’ailleurs valu une intervention surréaliste des gendarmes qui ne voulaient pas qu’on fasse une prise de vue avec les réacteurs en arrière-fond, car zones dites sensibles ! On a discuté pour trouver un terrain d’entente, et il a donc fallu se déplacer pour ne voir …que les tours !! :  à voir ICI (sélectionner la diffusion du 29/08 – les titres puis reportage à partir de 3′)

France 3, encore, avec un article sur le site internet de la chaîne :   à lire ICI

Le Progrès, avec un nouvel article paru dans l’édition du dimanche 30 Août, article assez fidèle et très complet cette fois-ci, le journaliste ayant interviewé pas mal de monde au long de la matinée sur le Rond-Point d’Ambérieu.

(Pour lire l’article, cliquer sur l’image)

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La presse locale réagit à notre communiqué concernant le rapport de la Cour des Comptes sur l’EPR de Flamanville

Cliquer sur l’image pour lire cet article

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Les mensonges de l’énergie nucléaire belge, dénoncés par l’association « Fin du nucléaire asbl »

L’association antinucléaire belge « Fin du nucléaire asbl », par la voix de son Président Francis Leboutte, a publié le 16 juin 2020 un communiqué qui dénonce les mensonges de l’industrie nucléaire, des gouvernements qui la maintiennent en survie artificielle et des instances internationales qui lui servent de caution (AIEA et GIEC) :

Pour lire le communiqué, cliquer ICI

 

En Belgique, l’abandon de l’énergie nucléaire (dite civile) a été décidé en 1999 par le gouvernement de l’époque (la « coalition arc-en-ciel » rassemblant libéraux, socialistes, et écologistes). Une loi exigeait alors l’arrêt des réacteurs nucléaires belges après 40 ans d’exploitation et prohibait la construction de nouveaux réacteurs nucléaires.

Mais depuis le vote de la loi il y a eu de nombreuses pressions du lobby nucléaire belge et international, pour que cette décision ne soit pas mise en oeuvre. Il faut préciser que les réacteurs nucléaires belges sont exploités par l’entreprise Tractebel qui est une filiale de la société Engie issue de GDF Suez elle-même issue de la scission en deux entités d’EDF-GDF.
Il faut préciser également que la Belgique, qui fait partie de l’OTAN, héberge les armes atomiques états-uniennes et les missiles pour les lancer. Il faut préciser enfin que la Belgique est un acteur important de la recherche nucléaire et qu’elle participe à plusieurs projets internationaux dont ITER en cours de construction à Cadarache (France).

Ainsi, en octobre 2009, le gouvernement belge a décidé de repousser de dix ans la première phase de sortie du nucléaire. La fin des permis d’exploitation des réacteurs nucléaires a été fixée à 2022 pour un réacteur (Doel 3), à 2023 pour un autre réacteur (Tihange 2) et à 2025 pour les cinq autres réacteurs (Doel 1, Doel 3, Doel 4, Tihange 1 et Tihange 3).
Puis en juin 2015 une nouvelle loi a modifié celle qui prévoyait la sortie de l’énergie nucléaire en 2025 au motif fallacieux de « préserver la sécurité d’approvisionnement énergétique de la Belgique ». Elle a ainsi prolongé de dix ans l’activité des deux réacteurs les plus anciens (Doel 1 et 2) au-delà de 2015, année au cours de laquelle ils devaient être mis à l’arrêt définitif.
Après divers rebondissements, la Cour constitutionnelle a annulé début 2020 cette loi de 2015. Elle en a toutefois maintenu les effets jusqu’au 31 décembre 2022, en exigeant qu’une étude d’incidences environnementales incluant la participation du public et une consultation transfrontalière soit menée.
En décembre 2019, la NVA, ou alliance néo-flamande (parti politique nationaliste qui est la force politique majoritaire en Belgique) a déposé une proposition de résolution pour la prolongation de réacteurs nucléaires après 2025 (des réacteurs qui auraient 40 ou 50 ans de fonctionnement à cette date, soit 10 ou 20 ans de plus que prévu à l’origine). Ce projet de résolution a été examiné en juin 2020 au sein de la Commission de l’énergie, de l’environnement et du climat de la Chambre des représentants.

C’est dans ce contexte que Francis Leboutte, président de « Fin du nucléaire asbl » a transmis à la commission de l’énergie, de l’environnement et du climat de la Chambre des représentants de Belgique l’avis en lien en tête de cet article. Celui-ci met en pièce le nouveau mensonge à la mode de l’industrie nucléaire selon laquelle la « filière nucléaire » est peu émettrice de gaz à effet de serre et donc « bonne pour le climat ».

Toute ressemblance avec la situation française n’est évidemment pas fortuite.

Comme tous les réacteurs français, et en particulier les quatre du Bugey, les sept réacteurs nucléaires belges présentent de nombreux défauts qui peuvent conduire à une nouvelle catastrophe nucléaire. Et comme tous les réacteurs nucléaires, ils rejettent en permanence de la radioactivité dans l’environnement et produisent des déchets radioactifs ingérables. De plus ils n’ont aucune rentabilité économique et leur maintien en fonctionnement aggrave le déficit des sociétés qui les exploitent, que ce soit Engie en Belgique ou EDF en France, et indirectement le déficit de l’État puisque celui-ci est actionnaire de ces deux sociétés privées à capitaux publics.

Les élus du département de l’Ain et de la communauté de communes de la Plaine de l’Ain, qui appellent de leurs vœux la construction de deux réacteurs EPR sur le site nucléaire du Bugey, au motif que cette technologie est bonne pour le climat sont complètement à côté de la plaque.
On leur conseille de lire le document en lien en tête de cet article, mais aussi le récent rapport de la Cour des Comptes sur le désastre de l’EPR :
Pour accéder au rapport de la Cour des Comptes, c’est ICI

Lien Permanent pour cet article : https://www.stop-bugey.org/revue-de-presse-la-presse-en-parle/les-mensonges-de-lenergie-nucleaire-belge-denonces-par-lassociation-fin-du-nucleaire-asbl/

Après l’arrêt de Fessenheim, pourquoi pas la fermeture de Bugey ?

Suite à notre communiqué de presse du 1er Juillet mentionnant que suite à la fermeture de Fessenheim,
la centrale de Bugey devient de fait la plus ancienne centrale nucléaire de France,

la presse locale réagit avec cet article paru dans Le Progrès dès le 2 Juillet
(clic sur l’image pour agrandir) :

Le Progrès signe un article suite à notre Communiqué de presse demandant la fermeture définitive de la centrale de Bugey compte tenu de sa vétusté et des avaries qu’elle cumule…

Mais également ICI sur LYONMAG.com

Sur le Journal La Croix ICI

Dans l’Express, ICI

L’ASN répond dans cet article du Progrès « qu’elle n’a pas relevé de dysfonctionnements notables depuis 40 ans », mais faut-il attendre un accident notoire ou catastrophique pour fermer cette centrale ?

Faut-il rappeler que dans ces 4 vieux réacteurs, les incidents se sont succédés (près de 300 déjà répertoriés sur cette centrale ! ) : fuites radioactives à répétition, tuyauteries corrodées qui fuient ou qui ne résisteraient pas à un séisme, vannes qui s’ouvrent, se ferment intempestivement ou se bloquent, appareils de mesures défectueux, etc.
Le réacteur n° 5, avec une enceinte de confinement non étanche et une cuve aux nombreuses fissures est particulièrement inquiétant.

Les 3 autres réacteurs comportent de nombreuses pièces non conformes à la sûreté, suite aux falsifications des fabricants (AREVA Creusot Forges et le Japonais JCFC).

Ces réacteurs sont fragilisés et continuer à les faire fonctionner rend de plus en plus probable l’accident grave !

 

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