Catégorie : Industrie nucléaire

Y aurait-il des fissures dans les réacteurs du Bugey ?

Après les révélations des fissures détectées sur les réacteurs de Civaux, Chooz et Penly, se pose la question de savoir si les réacteurs du Bugey, de même génération, ne pourraient pas être eux-mêmes atteints de ce même mal…

 

 

Voici le communiqué de presse que l’association Sortir Du Nucléaire Bugey a envoyé le 8 Février 2022 aux médias à propos de fissurations des tuyauteries du circuit d’injection de sécurité (RIS) de nouveaux réacteurs dont celui de Bugey 4.

Cette affaire nous amène à nous questionner sur le sérieux des visites décennales.
Celle de Bugey 4 s’était terminée le 24 juin 2021.

Ce problème, qui semble nouveau, ne l’est pas tant que ça, puisqu’en 1983, le réacteur Bugey 3 avait été concerné et réparé.

Pour lire le Rapport d’Activité d’EDF en 1983 dans lequel est relaté ce problème, c’est ICI

 

 

 

Compte tenu de l’importance du sujet ainsi révélé par le communiqué de presse de SDN Bugey, la presse locale au travers de ses titres « La Voix de l’Ain » et le « Journal Bugey / Côtière » n’ont pas manqué de réagir :

 

 

 

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CLI du Bugey – Intervention de SDN Bugey

 » … soutenir ce projet de construction de deux réacteurs EPR sur notre territoire, comme le font nos élus,
est un choix qui engage l’avenir de millions de personnes
dans un domaine aussi sensible et lourd de conséquences que le nucléaire.
Ce choix est définitivement inacceptable. »

En ce 9 Décembre 2021, se tenait une réunion publique de la CLI (Commission Locale d’Information) de la centrale nucléaire du Bugey.

Compte tenu du contexte :
– annonces d’Emmanuel Macron pour s’engager plus avant dans la construction de nouveaux EPR
– souhait des élus locaux pour accueillir deux de ces réacteurs nucléaires sur le site du Bugey

les membres de l’association Sortir du Nucléaire Bugey ont décidé de faire une intervention orale
pour faire valoir les différents arguments visant à s’opposer à ce projet.

Et pour manifester symboliquement leur opposition à un tel projet
les membres de l’association se sont tous levés au cours de cette déclaration.

Pour en lire le contenu, cliquer sur cette déclaration

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Lettre ouverte à un élu « bien mal informé » … !

Dans la brochure du député de l’Ain, Damien ABAD, on peut lire des propos bien élogieux sur son bilan, et en particulier un certain nombre d’affirmations dans le domaine qui nous concerne au sujet du nucléaire… tels que (*) :

  • Mon action sur le terrain : Soutien à notre filière nucléaire, qui compte près de 4000 emplois directs et indirects et produit une énergie décarbonée
  • Nous avons défendu : Plus de souveraineté énergétique, avec une politique « 0 carbone » basée sur le nucléaire
  • Nous avons proposé : L’arrêt de la construction d’éoliennes terrestres, qui détruisent nos paysages et polluent nos sols

(*) Propos tirés de la brochure « Votre député de l’Ain – DAMIEN ABAD – 5 ans d’actions et de projets – 2017-2022 »


Notre réponse à Monsieur Damien ABAD,
était indispensable pour « remettre les pendules à l’heure »…

Car en effet, pour dénigrer les antinucléaires,
certains élus pronucléaires sont prêts à tout,
allant même jusqu’à tenir des propos
totalement ineptes et infondés…
Il convient alors d’apporter
à la connaissance de tous les citoyens
les arguments qui démentent ces assertions.

D’où l’objet de la Lettre ouverte ci-contre
adressée à Monsieur Damien Abad,
dont le contenu complet
est accessible en cliquant l’extrait ci-contre.


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Une laverie nucléaire au Bugey ?

Et voilà t’y pas qu’on veut nous installer une laverie nucléaire au Bugey !!!

Après les 4 réacteurs nucléaires vieux de plus de 40 ans qu’on veut prolonger
Après le démarrage d’activité du centre de conditionnement et d’entreposage de déchets nucléaires (ICEDA)
Après le projet d’implantation de 2 nouveaux réacteurs nucléaires EPR

Voilà maintenant un projet d’installation d’une laverie nucléaire !

Et pourquoi pas un centre d’enfouissement de déchets nucléaires dans le sous-sol de la Bresse,
tant qu’on y est… comme CIGEO à Bure !

Article paru dans le Journal du Progrès

Au Bugey, y en a qui aiment vraiment le nucléaire… !

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Message à caractère informatif de la CRIIRAD

Bonjour à tous,

 

L’Europe s’apprête à adopter un règlement fixant les niveaux de contamination radioactive qui seront autorisés dans les aliments en cas d’accident nucléaire. Le Parlement doit donner son avis début juillet et le Conseil de l’UE devrait prendre sa décision d’ici fin 2015.

Alors qu’il aurait fallu revoir l’ensemble du dispositif mis en place au lendemain de Tchernobyl (sous la pression notamment du lobby nucléaire français), le projet de règlement élaboré par la Commission européenne ne change quasiment rien (il y a même des aggravations).

Officiellement, les limites adoptées garantissent le respect d’un critère de dose de 1 mSv (ce qui est déjà, pour la seule ingestion des aliments, un niveau de risque assez élevé). En réalité, les doses pourront être beaucoup plus élevées : 10 fois plus, voire 100 fois plus dans les scénarios les plus pénalisants. Le gouffre s’explique par des anomalies gravissimes (incohérences, mensonges, irrégularités…) dans le travail des experts qui ont validés ces limites. Un seul exemple pour vous convaincre de la gravité des faits : les  taux de contamination admissibles dans les aliments ont été définis pour l’impact d’un accident survenant à 1 000 km des frontières européennes. Or le règlement les applique aux accidents qui surviendront à l’intérieur de l’Europe ! Vous trouverez pages 2 et 3 de notre communiqué du 21 mai 2015 la synthèse des anomalies que nous avons identifiées.

Sur la base de ces constats, nous avons cherché à obtenir la liste des experts impliqués dans cette arnaque. Confronté au silence de la Commission, nous venons de déposer plainte auprès du médiateur européen.

Afin de faire pression sur les parlementaires et sur les gouvernements qui vont se prononcer dans les prochains mois, nous avons lancé une pétition contre le projet. Elle peut être signée en ligne au : http://criirad-protegeonsnotrealimentation.wesign.it/fr. Un document explicatif complémentaire est en cours de rédaction.

Nous avons besoin que la mobilisation soit la plus massive possible, en France et en Europe*. Toute aide, suggestion ou participation de votre part est la bienvenue que ce soit pour appeler à signer la pétition, diffuser l’information, trouver des relais à l’étranger ou  faire pression sur les décideurs.

N’hésitez pas à utiliser les documents que nous avons mis en ligne. Ils sont récupérables à http://www.criirad.org/aliments-nma-accidentnucleaire/sommaire.html (le dossier devrait s’étoffer au cours des prochaines semaines).

Notre prochaine action vise le vote du Parlement européen, prévu pour le 6 juillet prochain. Nous souhaiterions que le maximum de citoyens puisse interpeller les députés de sa circonscription (nous allons préparer dès que possible un modèle de lettre). Nous travaillerons ensuite en direction des gouvernements appelés à se prononcer au niveau du Conseil de l’UE (en particulier 1/ celui de la France et 2/ celui des Etats européens non nucléarisés).

Nous sommes à votre disposition pour toute question ou proposition.

Merci d’avance de toute aide que vous pourrez apporter,

Très amicalement

Pour la CRIIRAD

Le président, Roland Desbordesimage001

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L’EPReuve du feu

EPRLe feu, de tous temps, a fasciné les hommes. Le feu nucléaire qu’une partie de nos congénères prétend savoir maîtriser exacerbe incontestablement la fascination. Comment expliquerait-on autrement que par l’effet paralysant de la fascination l’entêtement des gouvernements français à poursuivre contre vents et marées la construction de l’EPR ou encore la faiblesse de l’opposition au nucléaire en France malgré l’horreur de Fukushima ? L’insouciance populaire et l’opiniâtreté gouvernementale ne sauraient être expliquées uniquement par la peur du manque futur d’énergie.

Si les gouvernants agissaient vraiment selon un calcul purement rationnel comme on le prétend parfois la filière électronucléaire au coût désormais exorbitant – tant au plan environnemental, social que financier – serait aujourd’hui abandonnée. Il existe sans doute peu de dossiers où toutes les cartes sont à ce point faussées. Qui saura stopper à temps la machine infernale que cache une fierté nationale tellement mal placée ?

On s’est autrefois moqué du programme Concorde, prouesse technique mais gouffre économique. On ironisait alors avec la découverte saugrenue que le seul Concorde rentable était celui qui, au Bourget, accueillait chaque année les très nombreux visiteurs venus admirer l’emblème de la réussite française. Et pour cause : cet aéronef-là ne décollait jamais. Aujourd’hui, personne n’ose rire de l’EPR. Il est fort à parier que demain nous nous retenions pour ne pas pleurer. Nous savons déjà que ce programme n’est pas un gouffre mais un abysse financier. Le chantier de Flamanville a d’ores-et-déjà pris cinq années de retard et sa facture a triplé depuis la première estimation de son coût de réalisation. La nécessité de renforcer les normes de sécurité – pourtant décrétées maximales à l’origine – après la catastrophe de Fukushima n’explique pas, loin s’en faut, ce surcoût et ce contretemps formidables. Si le programme Concorde avait été lancé quant à lui par temps de finances publiques plutôt florissantes, on ne saurait en dire autant du programme EPR qui fait entrer la France en phase de dilapidation des deniers publics. C’est ce que le groupe italien Enel, comptant pour 11% dans le projet, semble avoir enfin compris puisqu’il s’en retire. Rien n’autorise en effet à penser sérieusement que l’envolée du coût de production de l’EPR va s’interrompre, les 8,5 milliards d’euros annoncés en novembre dernier seront très probablement dépassés à mesure que de nouveaux avatars surviendront dans ce projet jugé – sauf par les nucléocrates – de plus en plus hasardeux.

BathoLe risque de catastrophes nucléaires civiles majeures, hier réputé impossible dès lors que les meilleurs experts et systèmes de protection sont mobilisés, est aujourd’hui mis en cause. Le lobby nucléaire lui-même n’ose plus brandir le « risque zéro ». Disons, pour paraphraser le grand penseur du 19ème siècle, que le spectre de Fukushima nous hante. Il va nous hanter très longtemps : les nucléocrates ne pourront pas, comme ils l’ont fait avec Tchernobyl, compter sur l’effacement du temps ou en appeler à l’inconséquence d’un régime totalitaire. Le Japon est une démocratie et vit désormais la pire catastrophe nucléaire civile de tous les temps, du moins tant que l’avenir ne nous aura pas légué une catastrophe plus terrible encore. Oui, « l’accident » de Fukushima est toujours en cours, les autorités politiques et techniciennes étant impuissantes à y mettre un terme pour l’instant. Le fait que nos projecteurs médiatiques aient été débranchés beaucoup trop tôt et que nos journalistes manquent de la bonne énergie, celle qui oriente le regard vers ce qui dérange, ne change rien à l’affaire. Elle est démesurément dramatique. C’est même sa démesure qui nous pousse à l’oublier. Oui, des pans entiers de la population nippone sont aujourd’hui sacrifiés et toute la population le sait. Elle ne veut plus du nucléaire ! Il va être très difficile de lui imposer de nouveau. C’est bien ce dernier aspect qu’il convient de nous cacher, à nous qui croyons encore au miracle de l’énergie atomique.

Le miracle n’aura pas lieu. Il est enfin avéré que la production de l’énergie nucléaire est la plus dispendieuse qui soit. Demain, elle sera ruineuse. Chaque nouvelle catastrophe impose de relever le niveau des protections avec la certitude désormais admise que les nouveaux seuils fixés seront un jour à revoir. De plus, nos « autorités compétentes » sont incapables de chiffrer le coût de démantèlement des centrales parvenues en fin de vie. C’est sans doute la raison pour laquelle cet élément de coût, exorbitant lui aussi on l’imagine, n’est jamais pris en compte dans le calcul du coût de production de l’énergie électronucléaire. Circonstance atténuante mais non déresponsabilisante pour nos gouvernants et pour EDF : aucune centrale n’a jamais été démantelée nulle part. Brennilis, la plus petite d’entre elles pour ce qui concerne la responsabilité d’EDF, effraie toujours nos apprentis sorciers en la matière –radioactive ! –vingt ans après l’arrêt de son réacteur. Il est donc temps de mettre fin au « mensonge nucléaire ». Le décret d’avril 2007 marquant officiellement l’ouverture du chantier de l’EPR à Flamanville a donné dix ans à EDF pour réaliser le chargement du réacteur en combustible. Ce délai paraissait très raisonnable, les plus pressés le trouvait même trop long à l’époque. Des voix s’élèvent aujourd’hui qui disent leur inquiétude de voir les responsables du programme sacrifier quelque peu la sécurité afin de tenir le délai. Lorsque Mme Delphine Batho proclame que le réacteur de Flamanville démarrera le 11 avril 2017 il est évident qu’elle n’en sait fichtre rien. Elle se borne à répéter bêtement, comme ses devanciers politiques, ce que les dirigeants d’EDF lui disent, eux qui n’en savent rien non plus tant les années prochaines risquent de nous livrer un nouveau lot d’onéreuse surprises et contretemps fâcheux.

Après avoir cessé de mentir on déciderait fatalement de mettre fin à la gabegie annoncée depuis longtemps. L’on nous dit que trop d’argent a déjà été mis dans ce programme pour que l’on puisse y renoncer. Cet argument est irrecevable, pour ne pas dire irresponsable. La gravité de la situation commande de ne plus regarder le passé mais de préserver l’avenir. Renoncer, ce n’est pas perdre de l’argent de toute façon déjà dépensé mais économiser les sommes colossales qui seraient dépensé demain. Arrêter un réacteur en fonctionnement est autrement problématique que de stopper sa construction. Et que dire du coût humain épargné ?Le pouvoir politique aura-t-il l’intelligence et le courage nécessaires pour affronter cette décisive « épreuve du feu » ?

Yann Fiévet

 

 

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EPR : QUAND VA-T-ON, ENFIN, ARRÊTER LES FRAIS ?

Quatre ans de retard selon les dernières prévisions d’’EDF…(Et qui peut vraiment y croire?…)

  • 1,8 milliard en 1998 quand cette dernière envisageait d’installer un EPR au Carnet près de Nantes, chez M.AYRAULT.
  • 3 milliards en 2003, annoncés au colloque du Ministère de l’industrie, à Rennes..
  • 3,3 milliards au cours du “Débat public”,organisé après la décision de construction sur  le terrain d’ EDF à Flamanville-d’où le très long couloir de lignes THT, vers les Pays de Loire, coûteux lui aussi.
  • 6 milliards en 2011 alors que, citant des sources internes, le CRILAN affirmait que son coût serait d’au moins 8 milliards.
  • Aujourd’hui, 8,5 milliards! Et l’énorme surcoût n‘est pas dû, quoi qu’en dise l’exploitant, aux seuls effets “consoles” qui devaient être payées par le sous-traitant fautif et aux mesures post Fukushima…

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Combien en 2016 ? Combien devra-t-on payer le kWh produit par ce type de réacteur? 3 fois plus cher que prévu?
Que peut signifier, dans ces conditions, de continuer la construction d’un prototype qui n’aura pas de suite? Arrêtons les frais dès maintenant !

Le Gouvernement HOLLANDE/ AYRAULT a annoncé qu’il réduirait la part du nucléaire dans la production d’électricité de 75 À 50 % d’ici 2025. Actuellement, aucun signe n’est donné dans ce sens, au contraire :

  • L’arrêt des vieux réacteurs de Fessenheim, annoncé pour fin 2016, au moment de la mise en marche prévue pour l’EPR  ne mène pas sur le chemin de la réduction annoncée.
     
  • Certains écologistes, associatifs comme politiques, se sont félicités de cette décision refusant de voir les évidences et l’envers du décor, au risque de laisser accréditer l’idée que leurs dirigeants semblent plus soucieux de leur avenir institutionnel que de leurs convictions d’origine et de celles de leurs sympathisants.
  • La construction des couloirs de lignes Cotentin Maine continue dans le passage en force et policier que l’on sait.
     
  • On ne connaît toujours pas, malgré nos demandes réitérées, en Commission Locale d’Information ( CLI), quel type de combustible serait utilisé dans l’EPR ! MOX, ou uranium plus enrichi avec gainage “dopé” au chrome ou uranium classique comme à OLKILUITO ?
     
  • Est-ce un début de réponse? Au cours de l’été, François HOLLANDE est intervenu pour accélérer l’extension et le pillage par AREVA, des mines d’uranium du NIGER au détriment de l’environnement et notamment des pasteurs nomades Touaregs. C’est ainsi que se perpétue la pseudo indépendance énergétique de la France, grâce au nucléaire , et le colonialisme le plus traditionnel.
     
  • Cerise sur le gâteau nucléaire, le gouvernement vient de lancer un nouveau débat sur la transition énergétique sous la houlette de pro-nucléaires notoires, selon la bonne vieille tactique pourtant très usée du “ Cause toujours, les choses sont déjà décidées !”

Dans le grand Ouest, comme aux niveaux national et international, ce n’est même pas, le “statu quo”. Pour ce gouvernement, le changement, ce n’est pas pour maintenant ! Se perpétue le développement d’un modèle énergétique à hauts risques environnementaux et sanitaires, centralisateur, autoritaire, brutal. Il nous contraint, plus que jamais depuis la catastrophe de Fukushima , toujours en cours, aux actions continuelles de harcèlement et/ou de masse. IL nous faut continuer les luttes. Les victoires à venir dépendent d’abord de nous et de notre mobilisation, et non d’institutions d’État, corrompues par la pieuvre nucléaire.

CLI Flamanville

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Sous-traitance nucléaire, ma zone contrôlée…va mal !

Les centrales nucléaires en France sont sous traitées à 80 %.
“J’ai accepté de rester 20 heures dans le bâtiment sans en sortir” témoigne un salarié de la sous-traitance. Consciencieux dans leur travail, ils ne comptent pas les heures et sont exposés aux radiations au-delà des doses autorisées. Leurs conditions de travail sont loin de s’aligner sur celles des agents EDF.

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Nucléaire, explosion des prix !

A la lumière du rapport de la Cour des Comptes qui vient de paraître, on découvre l’étendue de la facture nucléaire, rapport encore bien éloigné de la réalité.

227,8 milliards d’euros, c’est le chiffre annoncé par la Cour des Comptes dans un rapport accablant concernant les investissements dans l’électricité nucléaire en France, ajoutant qu’il reste de grosses zones d’incertitude. lien

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Rapport 2012 sur les coûts de la filière électronucléaire en France

Michèle Rivasi, député européenne : «Ce rapport démontre que l'éolien est compétitif »

Michèle Rivasi, député européenne, réagit à la publication du rapport de la Cour des comptes sur le nucléaire.

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